Wednesday, March 28, 2012

Anti-Nuclear Activists Say Summit Ignores True Nuclear Security

President Barrack Obama says the United States is committed to developing new technologies to produce peaceful nuclear energy.
He made these remarks on Monday at the start of a nuclear security summit in Seoul, South Korea. But one year after the disaster at Japan’s Fukushima Daiichi reactor complex, concerns about the safety of nuclear power linger on. Some activists, though, say there is no form of safe nuclear power. Speaking at a South Korean university, Obama said the peaceful uses of nuclear energy bring many benefits. He pointed to advances in medicine and science, and said nuclear power is a comparatively clean and affordable means of energy production. His views are shared by other leaders attending this week’s global Nuclear Security Summit, including South Korean President Lee Myung-bak. South Korea is emerging as a nuclear power exporter and is building reactors in the United Arab Emirates. But some activists say the summit is not promoting security at all. Instead, they claim, it’s goal is to make more money for the nuclear industry. Park Jung-eun is with the Seoul-based People’s Solidarity for Participatory Democracy, a civic group that is protesting the international forum. Park said last year saw the destruction of the nuclear power plant at Fukushima. She said nuclear material is very dangerous for all people around the world. Park said all nations must invest more money in renewable energy sources and stop the construction of nuclear power plants. Park’s group has been joined by international activists who have come to Seoul for the protests. “No nukes Asia, No Nukes Korea, No Nukes American, No Nukes Anywhere,” shouted protesters in unison. German activist Andreas Speck said demonstrators have the ability to force changes in their governments’ energy policies. He noted that German Chancellor Angela Merkel succumbed to pressure from mass anti-nuclear protests soon after the Fukushima disaster. “Angela Merkel extended the lifetime of German power stations just before Fukushima happened and then she was forced to do a U-turn because of people power. Yes, it shows that people, organizing, mobilizing have a lot of power,” said Speck. All German nuclear power stations are scheduled close down by 2022. The nuclear security summit concludes on Tuesday.

Le président Bouteflika annonce la création en Algérie d’un Centre d’Excellence de Formation et d’Appui à la Sécurité nucléaire

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a annoncé dans un message adressé aux participants au 2e sommet sur la sécurité nucléaire, qui se tient à Séoul (Corée du Sud) la création en Algérie d’un Centre d’Excellence de Formation et d’Appui à la Sécurité Nucléaire.


"Je voudrais saisir cette occasion pour annoncer l’initiative de l’Algérie de se doter d’un Centre d’Excellence de Formation et d’Appui à la Sécurité Nucléaire", a indiqué mardi le chef de l’Etat dans un message lu en son nom par son représentant à ce sommet, le président du Conseil de la nation, M. Abdelkader Bensalah.
"Cette initiative est fondée sur notre conviction qu’aucun système de sécurité nucléaire ne peut être fiable et efficient sans une ressource humaine adéquatement préparée à assurer la mise en oeuvre et la pérennité de ce système", a souligné le président Bouteflika.
"Ce Centre d’Excellence aura une vocation régionale. Il est prévu pour contribuer à la formation de professionnels de la sécurité nucléaire pour les pays intéressés du Continent africain et du monde arabe", a expliqué le chef de l’Etat, affirmant qu’il s’inscrit également dans une perspective de renforcement du processus de mise en £uvre du Traité de Pélindaba faisant de l’Afrique une zone exempte d’armes nucléaires.
Le président Bouteflika a ajouté que l’Algérie s’associe à ceux qui estiment que les mesures à prendre en matière de renforcement de la sécurité des installations et matériaux nucléaires à usage civil et militaire sont indissociables, soulignant à cet effet qu’elles doivent s’appliquer à toutes les installations nucléaires et s’insérer dans un régime international cohérent et global.
Pour le président de République, la sécurité nucléaire est aujourd’hui un "défi à relever à plus d’un titre", en raison du risque d’une utilisation criminelle des matières premières et installations sensibles.
"Cela nous engage à tout mettre en oeuvre pour prévenir ou mettre en échec toute tentative d’appropriation illicite d’équipements ou de matières nucléaires ou radiologiques", a encore affirmé le chef de l’Etat, tout en rappelant "l’étendue" des actions engagées par l’Algérie aux plans national et régional depuis le premier sommet sur la sécurité nucléaire à Washington en 2010.