Rapports d'étude - Risques chroniques - Développement Durable et analyses technico-économiques
Ordre:
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Analyse
des coûts et effets d'instruments politiques visant le secteur du
transport - Etude dans le cadre de la révision du programme national de
réduction des émissions de polluants atmosphériques (2008)
Analyse socio-économique dans REACH : adéquation et besoins d’adaptation dans le cas des nanomatériaux (2010)
Le
but de ce rapport est de fournir des éléments pour l’emploi de
l’Analyse Socio-Economique (ASE) dans le cas spécifique des
nanomatériaux. Il se base notamment sur la courte expérience de son
utilisation dans REACh pour les substances chimiques « classiques ».
Ce travail permettra d’une part de contribuer à l’objectif du Grenelle de l’Environnement d’élaborer « une méthodologie d’évaluation des risques et des
bénéfices liés à ces substances et produits [nano] ». D’autre part, il pourra être utile pour se préparer aux probables évolutions et adaptations de REACh, en particulier de l’ASE dans REACh, aux nanomatériaux.
Ce travail permettra d’une part de contribuer à l’objectif du Grenelle de l’Environnement d’élaborer « une méthodologie d’évaluation des risques et des
bénéfices liés à ces substances et produits [nano] ». D’autre part, il pourra être utile pour se préparer aux probables évolutions et adaptations de REACh, en particulier de l’ASE dans REACh, aux nanomatériaux.
Bilan de fonctionnement d'une installation IPPC - Guide pour l'analyse du volet technicoéconomique (2007)
Dans
le cadre de la Directive Européenne IPPC, les exploitants
d'installations doivent , que ce soit dans le cadre d'une procédure
d'autorisation ou d'un Bilan de Fonctionnement : - Situer leur
installation et ses performances environnementales par rapport à celles
associées aux Meilleures Techniques Disponibles décrites dans les
documents BREF, - Proposer une ou plusieurs alternatives permettant
d'améliorer ces performances, en présentant leur efficacité et leur
coût. Le présent guide, réalisé à la demande du MEEDAAT, a pour but de
donner des éléments de méthode permettant de comparer les performances
environnementales entre plusieurs alternatives. Les sujets suivants sont
traités : - comment prendre en compte pratiquement et hiérarchiser les
différents effets environnementaux ? - quels sont les différents types
de coûts qu'il faut inclure dans le calcul économique ? - comment
évaluer le rapport entre le coût et l'efficacité de différentes options ?
- comment prendre en compte la situation économique d'une installation
(flexibilité dans le planning de réalisation des investissements) Ce
guide est destiné aux entreprises, et à l'administration pour les aider à
évaluer les aspects relatifs aux MTD des dossiers d'autorisation et des
bilans de fonctionnement.
L'IIASA et la modélisation intégrée de la pollution atmosphérique transfrontière. Bilan et évaluation (2003)
Modélisation des futurs plafonds d'émission dans la Directive NEC - résultats pour le scénario central (2009)
Possibilités techniques et économiques de réduction des émissions de NOx dans le secteur des cimenteries Françaises (2010)
Cette
étude évalue les possibilités techniques et économiques de réduction
des émissions des NOx dans le secteur de la cimenterie.
Deux approches ont été combinées afin d’évaluer les possibilités techniques. Une analyse ex-post sur la période 2000-2008 a permis d’identifier les déterminants des émissions de NOx du secteur. Elle a mis en évidence le rôle significatif de deux MTD (système expert d’optimisation et SNCR) et également d’autres déterminants comme le type de four, de la VLE à laquelle l’établissement est soumis et du combustible utilisé.
Une analyse ex-ante a simulé l’impact de scénarios technico-économiques sur les émissions de NOx à l’horizon 2020. Ces scénarios se distinguent les uns des autres en termes d’hypothèses sur l’évolution de l’activité économique du secteur et de l’adoption des MTD (SNCR, SCR). Selon ces scénarios l’adoption de la SNCR par tous les fours permettrait de réduire les émissions de NOx en 2020 de 2,8 à 3,2% par rapport au scénario ‘statu quo’ dans la même année. L’adoption de la SCR par tous les fours permettrait de réduire les émissions de NOx en 2020 de 30,0 à 34,2% par rapport au statu quo. Enfin, pour le scénario le plus proche des préconisations du BREF ciment révisé, les émissions diminuent de 1,0 à 1,3% par rapport au statu quo.
Les possibilités économiques ont été évaluées en analysant l’impact de la mise en œuvre de MTD plus ambitieuses et plus coûteuses sur la compétitivité du secteur. L’éventuel impact sur la compétitivité a été évaluée par rapport à la compétitivité-prix (possibilités de transmission du coût des MTD vers l’amont ou l’aval, menace d’un remplacement du ciment par d’autres matériaux, menace de nouveaux entrants, augmentation de la rivalité entre les sociétés françaises…) et à la compétitivité-produit (e.g. effets de MTD sur les attributs qualitatifs du ciment et sur son bilan environnemental global). L’étude a identifié que le risque d’une internalisation du coût des MTD afin de ne pas réduire la compétitivité-prix est plutôt faible, tandis que l’impact des MTD sur la compétitivité dépend plus étroitement du type de MTD.
Deux approches ont été combinées afin d’évaluer les possibilités techniques. Une analyse ex-post sur la période 2000-2008 a permis d’identifier les déterminants des émissions de NOx du secteur. Elle a mis en évidence le rôle significatif de deux MTD (système expert d’optimisation et SNCR) et également d’autres déterminants comme le type de four, de la VLE à laquelle l’établissement est soumis et du combustible utilisé.
Une analyse ex-ante a simulé l’impact de scénarios technico-économiques sur les émissions de NOx à l’horizon 2020. Ces scénarios se distinguent les uns des autres en termes d’hypothèses sur l’évolution de l’activité économique du secteur et de l’adoption des MTD (SNCR, SCR). Selon ces scénarios l’adoption de la SNCR par tous les fours permettrait de réduire les émissions de NOx en 2020 de 2,8 à 3,2% par rapport au scénario ‘statu quo’ dans la même année. L’adoption de la SCR par tous les fours permettrait de réduire les émissions de NOx en 2020 de 30,0 à 34,2% par rapport au statu quo. Enfin, pour le scénario le plus proche des préconisations du BREF ciment révisé, les émissions diminuent de 1,0 à 1,3% par rapport au statu quo.
Les possibilités économiques ont été évaluées en analysant l’impact de la mise en œuvre de MTD plus ambitieuses et plus coûteuses sur la compétitivité du secteur. L’éventuel impact sur la compétitivité a été évaluée par rapport à la compétitivité-prix (possibilités de transmission du coût des MTD vers l’amont ou l’aval, menace d’un remplacement du ciment par d’autres matériaux, menace de nouveaux entrants, augmentation de la rivalité entre les sociétés françaises…) et à la compétitivité-produit (e.g. effets de MTD sur les attributs qualitatifs du ciment et sur son bilan environnemental global). L’étude a identifié que le risque d’une internalisation du coût des MTD afin de ne pas réduire la compétitivité-prix est plutôt faible, tandis que l’impact des MTD sur la compétitivité dépend plus étroitement du type de MTD.
Recherche
des meilleures technologies disponibles afin de réduire les rejets en
polluants atmosphériques des crématoriums (étude technico-économique)
(2010)
Cette étude a pour objectif
de recenser les meilleures technologies disponibles qui pourraient être
adoptées pour réduire les rejets atmosphériques des crématoriums. Une
analyse de données françaises et européennes est effectuée. Des
préconisations en matière d'épuration des rejets atmosphériques sont
proposées.
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